Pendant le passage de Lilian Thuram aux Cayes Haïti, je l’ai rencontré !

10 mai 2014

Pendant le passage de Lilian Thuram aux Cayes Haïti, je l’ai rencontré !

Il est de bon ton de rappeler en Haïti une promesse qui tarde à venir par une petite phrase complice : « pwomès se dèt ».1

Je vous fais donc grâce d’être obligé à y recourir d’autant plus qu’il m’est agréable de partager ici avec vous les quelques bribes de vie riche en couleur ou pastel de mon existence non privée d’aventure, de rebondissement et aussi, parfois, de réflexion.

Comme annoncé précédemment, Lilian Thuram a été aux Cayes,

(Sud d’Haïti) ce vendredi 9 mai pour la promotion de son livre : « Mes étoiles noires de Lucy à Barack Obama ». Un livre admirablement bien écrit et dont le public s’est emparé il me semble jusqu’au dernier exemplaire.

De sa conférence de presse donnée en fin de matinée à sa rencontre avec des écoliers et étudiants puis  une autre conférence-discussion suivie de la vente signature tant attendue à une Alliance française débordante de monde, un moment pour longtemps restera dans ma mémoire.

Le jour où j’ai rencontré Lilian Thuram

Un des nombreux avantages que me donne mon travail de rédacteur en chef de la salle des nouvelles de la Télé Caramel, est de recevoir à la rédaction des gens importants qui au passage me feraient cher payer, en temps d’attente, dans d’autre circonstance, un autographe dans une de leurs interminables lignes.

Ainsi, j’ai reçu, pour la promotion, le jour d’avant la visite de Thuram l’écrivain Verly Dabel et le professeur Jean Amos Dugé qui nous ont promis une interview. Promesse qu’ils ont par ailleurs , non sans mal,  tenu malgré le calendrier resserré du groupe.

C’est ainsi que j’ai quand même été surpris de voir le champion du monde de football 1998 débarquer, simple, en toute humilité dans nos studios pour l’interview. Mon seul regret c’est de n’avoir pas pu le retenir plus de 15 minutes, car, il prenait sur le temps de sa grande conférence.

Je vous ferai par ailleurs dans le prochain post la transcription de cette entrevue.

Mais bien avant, rappelons nous ces mots d’Albert Einstein suivi de la question essentielle de Lilian Thuram : « Le monde est dangereux à vivre. Non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire. ». Albert E.

« Et vous, de quel côté êtes‐vous ? » Lilian T.

1-Chose promise, chose due

 

DSC05543

 DSC05542

 

 DSC05535

 

 

Étiquettes
Partagez

Commentaires

Ahmed
Répondre

Albert a raison:les mauvais prosperent parce que les bons se taisent.

Widlore Mérancourt
Répondre

@Ahmed, et la question est de savoir de quel cote sommes nous... De ceux qui regardent sans rien faire ou des révoltés ?

nathyk
Répondre

Bravo Widlore !

Widlore Mérancourt
Répondre

@nathyk Merci beaucoup